le-thieboudieune-senegalais

Le thieboudieune, une recette sénégalaise, autrement appellée riz au poisson.

On le dit assez souvent : notre vie dépend grandement de ce que nous ingurgitons au quotidien. Notre santé reste tributaire de ce qu’il ya dans notre assiette, de ce que nous mettons dans notre ventre.

Notre santé est aussi dépendante du degré d’activité physique que nous disposons pour notre bien-être en vue de brûler les excédents en nous, faciliter la digestion puis l’élimination des déchets qui colonisent sinon saturent tout notre organisme.

Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger

Loin du goût alléchant ou peut être la facilité de cuisson de certains de nos mets préférés, sachons nous interroger sur l’apport réel que tel et tel autre aliment pour notre bien. Même le manioc que nous engouffrons en quantités effrayantes présente des dangers si ignorés chez nous.

L’emprisonnement de notre capacité à choisir nos aliments en bonne conscience et dans la pleine liberté, est un véritable empoisonnement insidieux situé à tous les niveaux et qui hélas ne dit pas son nom. Bien entendu, il s’agit d’un fait rendu complexe et confus à dessein.

C’est sans compter le coût de la vie devenu de plus en plus élevé, poussant ainsi les ménages à manger au moindre coût et surtout à leurs risques et périls, des aliments pourtant pourchassés et traqués partout ailleurs mais lesquels rentrent aisément, librement et facilement dans ce pays, le Congo Brazzaville.

Ne dites pas que vous ne le saviez pas.

Le marché local est depuis quelques années, inondé sinon pris d’assaut par des aliments avariés, empoisonnés à dessein car contenant des substances nocives, toxiques et irrégulières du point de vue de leur contenance, de leur composition.

Les alertes sur les réseaux sociaux ne cessent de se multiplier et demeurent à la portée d’un très grand nombre. Même la constitution d’un thermos devient un moyen d’empoisonner à petit feu les populations ciblées.

En laboratoire, toute sorte de manipulations sont effectuées en vue de créer des maladies ou des pandémies qu’on ne décèle qu’en Afrique noire, sinon dans les pays du Tiers Monde, à commencer par le SIDA, EBOLA, CHIKUNGUNYA et bien d’autres.

Il ne s’agit pas ici de créer une quelconque psychose  ni d’appeler à un type de boycott de tout produit importé, et encore ! Il convient cependant de sonner l’alarme devant une situation qui frise une série d’hécatombes programmées afin de ne pas être taxé un jour de ”non assistance à communautés en grand danger”…

De quoi d’ailleurs s’interroger pourquoi, depuis des décennies, qu’il y ait eu autant de changements de traitements contre le paludisme qu’on ne fait que soulager, quand, dans le même temps, des fils d’Afrique outillés(au Togo, en RDC, pour ne citer que ces deux récents cas) qui mettent au point des tisanes performantes contre le paludisme ou la radicalisation du HIV, viennent à être intimidés et qu’on tente même d’assassiner!

Certains ont été dévalisés et dépouillés du fruit de leurs longues recherches, des travaux visant le bien-être de l’Africain, de l’espèce humaine ; des chercheurs qu’on retrouve morts dans des circonstances suspectes ou alors en fuite à l’étranger à cause du long bras des multinationales au dessus de la sphère de la santé mondiale.

L’Efo-rico, recette congolaise

Réagir et non se fier aux seuls médias

Afin de parer au sempiternel doute des irréductibles septiques qui  considèrent ces mises en garde des réseaux sociaux comme étant juste de la distraction ou une manière de colporter des faussetés, des mensonges et de la seule intoxication​, nombreuses sont  des séquences de vidéos qui nous parviennent, nous éclairent, nous interpellent et nous laissent froid dans le dos.

”Viande arrière…viande avant… Cuisses  ou ailes de volailles, poulets congelés…” sont autant d’armes insidieuses conçues pour exterminer des populations à jamais soumises dans le dénuement, mourant tels des mouches. En plus de l’état avarié de ces viandes, il y a lieu de dénoncer ces étranges traitements de volailles et même des poissons à la seringue, ignorant de quoi se compose la mixture injectée : du formol et autres…

Bannissez tout produit ”Ma ling & co” et toute sorte de boîte de conserve de viande, pâté et autres. Ignorez ce qu’on vous fait manger depuis des décennies et qui d’ailleurs fait de l’Afrique centrale, une de leur destination digne d’un Eldorado. … ”Congo zoba.” Soyez vigilants et rigoureux en écartant tout produit alimentaire dont le code barre est asiatique ; la Chine est passée championne du trafic et malversation sur le plan alimentaire et sur toute chose d’ailleurs.

Notre pays est devenu la destination privilégiée de ces empoisonnements à grande échelle pour de l’argent facile et à partir d’un troc déplorable, tenace, confirmé, cruel, démontrable et odieux. Des déchets qui ruinent notre santé et notre éco-système contre nos ressources, nos richesses, nos territoires, notre existence!

Le ton est donné

Quand, dans son récent discours à la nation, le chef de l’Etat monte au créneau et pointe ouvertement du doigt l’état sinon le danger de ces poulets dont ses concitoyens sont devenus friands malgré eux, il y a lieu d’y voir là un réel appel du pied mais sans trop se prononcer. Depuis ce scoop présidentiel, des langues pendues ou bien affinées ont alors riposté, diabolisant sans ménagement le ”bon bœuf d’Oyo” produit par ceux de la mouvance politique du pays… À la guerre comme à la guerre!

À qui donc la faute?

La corruption encouragée, permet certaines administrations de favoriser le massacre, même au seuil de nos propres portes. Par conséquent, il n’est donc pas étonnant de voir et d’entendre des inepties au sujet de certaines autorités qui se lâchent sans retenue, sans pudeur, et qui vantent les morgues bien entretenues, ”pour améliorer les conditions de vie des morts”, sinon affirmer sans détour que ”nous détenons les morgues les plus sophistiquées en Afrique au sud du Sahara”,  ou encore, parce que ces morgues sont à regarder comme étant ”le poumon économique de la ville”…

Tout y est dit. De quoi dire que les vivants, à commencer par nos aînés à la retraite, nos jeunes dans les rues et nos enfants entassés telles des sardines dans des salles de classes sans tables-bancs, et des adultes dans la vie active mais contraints de vivre dans la pauvreté absolue, n’intéressent pas cette classe dirigeante qui a décidé de vivre en vase clos au sein d’une congrégation de familles retenues et convenues pour l’application des anti-valeurs à ciel ouvert. La Françafrique soutient et pourvoit des armes pour intimider et au besoin tirer sur les foules qui tentent de se réveiller.

Il n’y a pas que la viande arrière, avant ou les célèbres ”côtes de Brazza ” à être en cause.

Il y a aussi le sucre, la farine, le riz, les pâtes alimentaires du genre spaghetti, macaroni et même les pâtes dentifrices, ainsi que la plupart des boîtes de conserve, tous concernés par un empoisonnement organisé, intentionnel. Même l’huile de cuisine provient des sources impensables, horribles. Il en est de même pour les arachides, maïs importés,  en y associant aussi beaucoup d’autres graminées OGM, très nocifs pour l’homme et l’animal.

Je ne parle pas ici d’un grand nombre de médicaments vendus à la sauvette dans la rue, ou même ceux logés dans des pharmacies même les plus prestigieuses, les plus respectables, encore moins de l’absence de rigueur dans le respect des normes et hygiène tant dans les restaurants que dans les boulangeries…

La mort, leur business éhonté

Le taux élevé des décès chez nous compte ainsi plusieurs facteurs en plus de la hargne et la cruauté des sorciers de famille avides de sang humain pour activer leurs projets sociaux (il faut bien le souligner), il y a inévitablement la corruption des autorités en charge de protéger les populations contre l’entrée libre et massive de ces aliments empoisonnés qui, au sein des multinationales et les mannes de l’agroalimentaire aux USA et en Occident, porte bien un nom tout en cachant leur sale gueule criminelle !

Le Ndole, recette camerounaise

De qui donc se moque-t-on alors ?

À défaut d’aller s’empoisonner avec toute cette kyrielle d’aliments, tâchons de retourner à la terre, d’apprécier cette activité physique comme un passe-temps doublement bénéfique pour nous et pour notre prochain, d’apprendre aussi à apprécier et nous contenter des produits de notre sol.

Le canard, les œufs, la poule, le coq de chez nous et de notre poulailler; les légumes et tout ce qui foisonne chez nous mais que certains parmi nous regardent hélas avec dédain.

À chacun sa résolution.

Parlant de la viande et pour le peu que j’en consomme, je la prends frais sur l’étalage du marché avec la condition de la présence obligatoire de la tête ou la queue de l’animal. Cependant, je préfère de loin du poisson frais de mer ou d’eau douce. Je bois aussi l’eau de forage dont le suivi technique est assuré.

Et je me porte merveilleusement  bien !  Plus que jamais en forme. Une vraie source de jouvence !

À chacun de retenir son credo: s’appliquer à ériger son siège d’excellence grace aux excellents produits de notre terroir, pour une vie comblée et à vouer pour nos compères ou alors s’aligner dans la complaisance en cherchant à mener une vie insouciante et telle imposée, menant droit sur la civière de l’empoisonnement, ou devenir à la longue des ”pièces détachées” telles couramment pratiquées au Gabon, ces prélèvements d’ organes humains pour des pratiques occultes, odieuses et cruelles.

À chacun de voir!

Ainsi se confirme notre droit divin:

Le libre arbitre !

Fumu BIPE,

daring_angel©jan 2020