l'Afrique qui perit

L’extermination totale du peuple Noir  est une conspiration bien conçue, bien ficelée, bien planifiée et qui a, non seulement des racines très profondément ancrées dans les esprits des non-africains qui veulent s’approprier l’Afrique Noire et ses richesses en se débarrassant de toute âme négro-africaine sur cette terre, mais aussi et surtout, des ramifications largement déployées sur Toute l’étendue de l’Afrique Noire, des ramifications entretenues et perpétrées par les négro-africains eux-mêmes.

Ce plan à ramifications multiples est déjà bien amorce et Dieu seul sait son niveau d’évolution à l’heure actuelle.

Pourtant, les Noirs, ce peuple qui adore se passer pour victime innocente tout le temps, ne semble avoir aucune conscience du gros piège massif dans lequel il se trouve.

Ce peuple a fait un choix unique au monde, un choix inédit, celui de confier la gestion de son destin présent et de son avenir aux prédateurs – sous-traitants –  qui ont la charge de gérer :

  • l’oxygène que le peuple Noir  respire,
  • l’eau que le peuple Noir  boit,
  • le poulet et la tomate que le peuple Noir  mange,
  • l’aspirine que le peuple Noir  avale
  • le vaccin injecté au bébé Noir, etc.

S’étant mis dans la tête que les richesses dont regorgent le ciel, le sol et le sous-sol africain font de lui un patron exceptionnel, le négro-africain – qui cristallise la balkanisation de sa terre telle que voulue et instaurée par la Conférence de Berlin (novembre1884-février 1885) –  a cru bon de subir une lourde chirurgie cérébrale pour ne plus avoir à penser comme un  Africain, pour ne plus posséder sa terre, pour ne plus être Noir. Et, sciemment ou inconsciemment, le négro-africain a cessé d’exister ; c’est ainsi que :

  • Quand Ebola frappe l’Africain de l’Ouest, l’Africain du Centre lorgne son frère de l’ouest avec un regard méprisant, le rejette, l’abandonne et lui ferme la porte du centre de l’Afrique en l’accusant d’avoir attrapé la maladie de la saleté par sa propre faute, c’est-à-dire : l’Africain de l’Ouest manque d’hygiène. 
  • Quand les chrétiens et les musulmans Centrafricains s’improvisent cannibales et mangent publiquement la chair des uns et des autres, la chair des frères, le reste des Africains les regardent avec indifférence et mépris en les traitant de sauvages, c’est-à-dire : Le centrafricain manque de « civilisation ». 
  • Quand la famine frappe l’Africain de l’Est et que les gentils philanthropes Occidentaux exhibent avec joie les pauvres petits corps chétifs des africains affamés, à travers tous leurs medias comme des trophées de victoire, d’autres Africains détournent leur regard, ne veulent rien voir et se disent non-concernés car eux, leurs enfants dodus sont bien nourris et bien soignés,  ignorant que même leurs enfants sont des cadavres-dodus ambulants car ils sont nourris avec du poison venu d’ailleurs, poison contenu dans le poulet, dans le yaourt, dans l’eau, dans le vaccin, dans l’air, etc., poison que le chercheur négro-africain ne s’embarrasse pas à vouloir examiner. 
  • Quand plus de 3 000 000 de femmes et de jeunes filles sont quotidiennement violées en République Démocratique du Congo, par les négro-africains porteurs de toutes sortes de virus de décimation massive, y compris le VIH, dans le but de détruire la femme – et donc la vie – en RDC, les autres africains, enfermés dans leur petite bulle illusoire du faux confort moderne qui leur donne l’impression d’être différents des autres Africains, regardent les femmes violées de la RDC avec condescendance en demandant d’un air arrogant : « il se passe quoi déjà en  RDC ? » 
L’être humain est d’abord et avant tout spirituel, peu importe dans quel sens.
La sagesse qui régit toute connaissance, de tout être humain, est d’abord et avant tout spirituelle, peu importe dans quel sens.
La connaissance qui anime toute lutte de survie, est d’abord et avant tout spirituelle, peu importe dans quel sens.
Toute lutte de survie se gagne avec le concours des forces surnaturelles
Toute force surnaturelle provient des esprits
Tout esprit n’intervient et n’agit qu’au sein des siens, au sein de ceux qui portent son ADN, et jamais ailleurs.
Le négro-africain est perdu parce qu’il a perdu son ADN spirituel.
Le négro-africain périt parce qu’il ne sait plus parler à ses propres forces surnaturelles.
Le négro-africain s’éteint parce qu’il a troqué ses esprits protecteurs contre des esprits destructeurs venus d’ailleurs.
Le négro-africain meurt parce qu’il croit qu’il croit alors qu’il ne croit plus.
Le négro-africain disparaît parce qu’il a cessé d’être négro-africain.
Jamais peuple n’a été aussi naïf !

Marie-Louise Abia